Comment écrire une page de vente qui convertit vraiment ?

La page de vente est un outil indispensable pour présenter votre offre, convaincre votre lecteur… et déclencher l’achat.

Mais son écriture ne s’improvise pas : pour qu’elle convertisse, chaque partie, chaque mot compte. Sa conception ne laisse pas de place à l’improvisation.

Une bonne page de vente accompagne votre prospect dans sa réflexion, l’aide à prendre sa décision et lui montre clairement l’avantage à passer à l’action.

Voici les bonnes pratiques pour écrire une page de vente qui convertit vraiment.

Comprendre le concept de la page de vente

Qu’est-ce qu’une page de vente ?

On dit souvent que le copywriting est l’art de vendre avec les mots. C’est avec la page de vente que ça prend tout son sens. C’est une page d’un site web spécialement conçue pour convaincre un visiteur d’acheter un produit, un service, une formation ou une offre spécifique.

Contrairement aux autres pages d’un site (comme l’accueil, les landing pages ou les fiches produit), elle suit une structure bien précise, pensée pour la persuasion, qui doit l’emmener vers le grand final : l’achat.

La rédaction de page de vente est l’une des missions les plus difficiles en copywriting. La manière dont elle est écrite influence fortement la réussite ou non de vos objectifs.

Objectifs d’une page de vente qui convertit

Une bonne page de vente ne se contente pas de présenter une offre, elle a pour but de :

1. Rassurer le lecteur sur votre entreprise et votre crédibilité,
2. Le persuader que votre solution est celle dont il a besoin
3. Et le faire passer à l’action (achat, inscription, prise de contact, demande de devis…).

Et pour atteindre ces objectifs, elle doit être construite en suivant une stratégie bien précise. Voici mes conseils et techniques pour réussir votre page de vente.

Stratégies pour optimiser votre page de vente

Concevoir une page attractive

Le travail du copywriter (ou concepteur-rédacteur en français) est de concevoir les meilleurs textes adaptés au public pour lequel il écrit. La page de vente doit susciter l’intérêt pour l’offre ou le produit et inspirer confiance à vos clients potentiels.

Pour ça, elle doit être attractive. Une page bien structurée et agréable à lire favorise la conversion.

Soignez particulièrement ces éléments lors de sa construction :

• Design clair et épuré : votre mise en page doit être fluide et aérée. Banissez les gros blocs de textes et laissez des espaces blancs pour permettre au lecteur de faire une pause visuelle. Faites également attention aux contrastes qui doivent faciliter la lecture.
• Typographie lisible : évitez les polices manuscrites qui sont illisibles et demandent un effort visuel. Privilégiez des polices modernes et professionnelles.
• Hiérarchisation du texte : hiérarchisez bien vos titres et sous-titres pour structurer le message et faciliter la lecture en diagonale.
• Visuels impactants : utilisez des images et vidéos de qualité pour illustrer votre offre. Utilisez des visuels montrant des personnes pour créer une connexion émotionnelle avec votre audience. Les démonstrations produits, témoignages en vidéo et illustrations pertinentes renforcent la crédibilité.
• Mise en avant des éléments clés : utilisez des couleurs, des encadrés ou encore des icônes pour faire ressortir les points importants (bénéfices, prix, garantie, CTA…).
• CTA visible et convaincant : le bouton d’action (ou CTA pour call to action) doit être à des endroits stratégiques. Il doit aussi contraster avec le reste de la page et être accompagné d’un message engageant (« Je veux en profiter maintenant », « Accédez à la formation », etc.).

N.B. : Quand je parle d’attractivité, je ne parle pas des couleurs ou des images. Nous ne sommes pas graphistes. Mais nous pouvons quand même vous conseiller sur cet aspect.

Une page bien conçue attire immédiatement l’intérêt du visiteur et le guide naturellement vers l’action souhaitée. Mais il ne faut pas oublier d’autres maillons tout aussi importants : les éléments de persuasion.

Les éléments de persuasion importants

Contrairement aux articles de blog qui sont généralement informatifs, une page de vente efficace doit convaincre et inciter à l’action. C’est pourquoi le copywriter utilise des leviers psychologiques et des techniques de persuasion.

Voici ceux que vous devez absolument connaître et utiliser.

Un titre percutant et orienté bénéfices

Le titre de votre page de vente est capital. D’abord parce que c’est la première chose que votre client potentiel voit en arrivant dessus. Mais aussi parce que vous n’avez que quelques secondes pour capter son attention et lui donner envie de lire la suite.

Je vous conseille donc de passer autant de temps que nécessaire sur celui-ci. Mon astuce : écrivez-le à la fin, lorsque vous aurez terminé de rédiger votre page. Vous aurez ainsi les éléments forts de votre offre que vous pourrez réutiliser dans votre titre.

Exemple :

❌ « Coaching en organisation personnelle »

✅ « Libère 10 heures par semaine grâce à une méthode d’organisation simple et sur-mesure »

Une promesse forte et crédible

Il y a un principe en copywriting qui est le « What’s in it for me ? », littéralement « Qu’est-ce que ça va m’apporter ? ». En clair, votre prospect doit comprendre ce qu’il a à gagner grâce à votre offre.

Alors travaillez bien votre promesse : elle doit être spécifique, réaliste et désirable. Et j’insiste particulièrement sur le « réaliste ». Ne mentez pas. Jamais. C’est une très mauvaise idée ou vous pouvez dire adieu à votre crédibilité.

Exemple :

❌ « Formation en pour apprendre à écrire des pages de vente »

✅ « Apprenez à écrire des pages de vente irrésistibles et triplez vos conversions »

La preuve sociale

La preuve sociale, ce sont tous les témoignages clients, avis, logos d’entreprise avec lesquelles vous avez collaboré, études de cas et chiffres concrets, qui donnent confiance à vos prospects.

Ajoutez-les toujours dans votre page de vente, car ils renforcent votre crédibilité et rassurent les plus hésitants d’entre eux.

Pour ça, intégrez des témoignages authentiques (oubliez les faux témoignages, ai-je besoin de le rappeler ?) avec des prénoms et des photos. Vous pouvez même miser sur les retours en vidéos pour plus d’impact.

Comment fait quand il s’agit d’une nouvelle offre et qu’on n’a pas encore de clients ?

Il existe quelques astuces toutes simples :

• Affichez vos avis clients existants dans une section type « Ils ont déjà travaillé avec moi ».
• Publiez des extraits pertinents d’autres témoignages en précisant dans quel contexte ils ont été recueillis.
• Utilisez des captures d’écran de posts/commentaires/messages où on vous félicite pour vos contenus.
• Montrez votre expertise avec vos propres chiffres.
• Faites une bêta test à tarif réduit avec quelques personnes en échange de leur avis. Double effet Kiss Cool : leurs retours vous permettent d’ajuster votre offre avant le vrai lancement.

Les bénéfices

En écriture persuasive, il y a un principe fondamental, qu’on peut résumer par cette phrase :

Les gens n’achètent pas un produit pour ce qu’il est, mais pour ce qu’il fait pour eux.

En anglais, on dira plutôt : “Features tell, benefits sell.” (Les caractéristiques informent, les bénéfices vendent.).

En résumé :

• Caractéristiques = ce que c’est (fonctionnalités, détails techniques, format, etc.),
• Bénéfices = ce que ça change pour votre client (résultat, gain, transformation, émotion…).

Ce principe est central, car il te pousse à te mettre dans les chaussures de ton prospect et à répondre à sa question favorite : “Et moi, qu’est-ce que j’y gagne ?” (vous vous souvenez, le fameux « What’s in it for me ? » dont nous avons parlé pour la promesse).

Si on prend l’exemple d’une formation, voici la comment faire la différence entre les deux :

• Caractéristique : « Cette formation dure 4 semaines ».
• Bénéfice : « En 4 semaines, tu auras une page de vente prête à convertir et à vendre pour toi, même si tu pars de zéro ».

Le future pacing (ou « projection dans un futur radieux »)

Le future pacing est la section où vous présentez à votre lecteur l’avenir radieux qui l’attend s’il achète votre offre ou votre service. En français, on peut parler de futur radieux, de vision idéale ou encore de projection dans l’avenir.

Imaginez que vous voulez convaincre un particulier d’assister à votre atelier pour apprendre à réaliser le 3 chocolats. Vous n’allez pas simplement lui dire : « Apprenez à réaliser un délicieux 3 chocolats maison ».

Ça ne fait pas envie, sachant qu’il s’agit d’une recette assez technique et longue à faire. Non, vous allez plutôt l’aider à se projeter dans le futur, à imaginer ce qui va changer pour lui s’il suit votre atelier. Non. Vous allez plutôt faire appel à ses émotions (le plaisir de créer, la fierté, la convivialité, l’odeur, la gourmandise…) :

Imagine-toi un dimanche après-midi, tablier autour de la taille, entouré de l’odeur du chocolat fondu. Tu réalises ton propre entremets « 3 chocolats », guidé pas à pas par un chef passionné.
Tu repars chez toi avec ta création (et peut-être quelques doigts pleins de ganache), fier de ce que tu viens d’accomplir.
Et le meilleur dans tout ça ? C’est que tu sauras le refaire, pour impressionner famille et amis à ton prochain dîner. Et savourer les compliments que tu vas recevoir de tes convives émerveillés.

On n’est plus dans un atelier de pâtisserie, on est dans un moment de vie que la personne a envie de vivre. Elle peut parfaitement s’imaginer en train de le faire et presque sentir l’odeur du chocolat.

Voilà, ça c’est le future pacing.

Les principes de rareté et d’urgence

Quand quelque chose est limité, ça devient tout de suite plus désirable. C’est humain : on a peur de passer à côté. C’est le principe de rareté.
En copywriting, la rareté pousse à l’action. On n’a pas envie d’attendre et de risquer de tout rater.

Voici comment vous pouvez l’appliquer :

• “Seulement 10 places disponibles”,
• “Édition limitée”,
• “Plus qu’un exemplaire en stock”…

L’urgence, quant à elle, joue sur le facteur temps. Elle incite à agir vite, avant qu’il ne soit trop tard. Vous la connaissez sous les formes suivantes : “Offre valable jusqu’à ce soir minuit”, “Clôture des inscriptions vendredi”, “Prix préférentiel jusqu’au 15”…

Si votre prospect n’en profite pas maintenant, ça sera trop tard. C’est pas demain qu’il faut passer à l’action, c’est maintenant.

Mais n’abusez pas de ces principes. J’insiste : ne mentez pas.
Si vous utilisez un compte à rebours pour annoncer la fin d’une promotion ou la fermeture des portes de votre formation, assurez-vous que l’échéance est réelle et respectée. Si le prospect revient le lendemain et que l’offre est toujours active, la confiance sera perdue. Et une fois qu’elle est partie… elle ne revient pas.

La réciprocité

La réciprocité est l’un des 7 principes de persuasion du Dr Robert B. Cialdini, publié dans son ouvrage Influence & Persuasion – La psychologie de la persuasion.

Selon ce principe, quand on reçoit quelque chose, on a naturellement envie de rendre la pareille. C’est un réflexe humain.

Si une marque vous donne du contenu gratuit, de la valeur, des conseils… vous serez plus enclin à acheter chez elle le moment venu. C’est, par exemple, les échantillons offerts dans les parfumeries.

En copywriting, ça peut se traduire par :

• Un lead magnet offert (checklist, e-book, mini formation),
• Des conseils ultra utiles en newsletter,
• Une masterclass gratuite,
• Des articles de blog vraiment qualitatif (comme celui que vous êtes en train de lire 😉).

Tout ça crée un lien, de la confiance, et une sorte de “petite dette morale” (positive !), qui peut se transformer en achat. 

La garantie

Elle a un but bien précis : lever les objections. C’est une bonne façon de sécuriser le prospect, de le rassurer.

Il en existe plusieurs types :

• Satisfait ou remboursé,
• Essai gratuit,
• Accompagnement jusqu’à obtention des résultats annoncés,
• Paiement en plusieurs fois.

Je précise qu’en France, le délai de rétractation de 14 jours est obligatoire. Ne jouez donc pas les grands seigneurs en faisant croire que vous leur faites une fleur en leur proposant ce délai. Elle doit être vraiment avantageuse pour eux, comme 30 ou 60 jours, par exemple.

L’importance des appels à l’action

Vous pouvez avoir la meilleure page de vente du monde, si vous ne dites pas à votre lecteur quoi faire ensuite… il ne fera rien.

L’appel à l’action, ou CTA pour Call-To-Action, est l’endroit de la page où vous lui indiquez ce que vous voulez qu’il fasse. C’est le bouton qui l’invite à passer à l’étape suivante : inscription, réservation, achat, etc.

Contrairement à ce qu’on pourrait penser, ce n’est pas un simple bouton « Cliquez ici » ou « Achetez ». non. Il faut beaucoup plus le travailler pour inciter à l’action.

Un bon CTA, ça se travaille. Il doit être :

• Clair : le lecteur doit savoir immédiatement ce qu’il va se passser ensuite.
• Orienté bénéfice : il doit comprendre immédiatement quel est son intérêt (qu’est-ce qu’il a à y gagner, vous connaissez la chanson maintenant).
• Visible : il doit le voir au premier coup d’œil, en scrollant sur la page.

Voici des exemples de bon Call-To-Action :

• “Je réserve ma place pour l’atelier chocolat”.
• « Je retrouve le plaisir de promener mon chien ».

Vous devez placer votre CTA à différents endroits stratégiques de la page de vente. Mais elle doit comporter une seule et unique action. Ne demandez pas à votre lecteur d’acheter votre produit, de s’inscrire à votre newsletter et de télécharger votre lead magnet.

👉 Une page = un objectif.

Quelle longueur pour une page de vente ?

C’est LA question qui revient le plus souvent : page de vente courte ou à rallonge ?

Et elle est justifiée. Sachez qu’il n’y a pas de règle absolue.

Moi, je pars du principe que la page d’une offre à 27€ n’a pas besoin d’être aussi détaillée que celle où le client devra débourser 3 000€.

Donc :

• Pour une offre simple ou peu onéreuse (ebook, mini-prestation, atelier d’1h…), optez pour une page courte à moyenne (environ 500 à 1000 mots).
• Pour une offre premium, plus chère ou engageante (accompagnement, formation, prestation sur mesure), préférez une page longue et détaillée, qui anticipe les objections, développe les bénéfices et rassure le prospect (1500 à 3000 mots, voire plus).

La longueur idéale est finalement celle qui est nécessaire pour convaincre votre lecteur que votre offre est faire pour lui.

Et si vous n’arrivez pas à trouver le bon dosage ou la bonne structure, vous savez où me trouver. 😉

Les erreurs courantes à éviter pour une conversion maximale

Vous aurez beau passer du temps à rédiger votre page de vente, si vous faites ces erreurs, elle ne convertira pas à son plein potentiel. Résultat : découragement et frustration pour vous.

Les pièges de la surcharge d’informations

Quand on a passé des heures et des heures à construire une offre, on la connaît sur le bout des doigts et on a envie de tout dire dessus. Absolument tout. Sauf qu’en faisant ça, vous noyez le message principal dans une masse d’informations. Au final, votre lecteur se sent perdu et quitte votre page de vente.

Comme on dit : trop d’infos tuent l’info.

Une bonne page de vente est claire, fluide et structurée. Chaque section a une mission bien précise. Vous devez réfléchir à quelles sont les informations essentielles pour votre prospect et à mettre en avant. Un lecteur commence par scanner la page avant de la lire entièrement. Il doit donc rapidement comprendre ce que va lui apporter votre solution et si elle est faite pour lui.

Ignorer le responsive design

Les internautes consultent de plus en plus les sites internet depuis leur mobile. C’est donc une erreur de penser votre page de vente uniquement pour ordinateur. Elle doit aussi être responsive, c’est-à-dire s’afficher correctement sur ordinateur et smartphone / tablette.

Sur tous ces supports, vérifiez que :

• Chaque partie soit lisible, bien alignée et visible.
• Les boutons soient assez grands.
• Les blocs de textes soient courts et aérés.

Une page de vente est avant tout une page agréable à lire. Si le lecteur doit faire des efforts, il abandonnera. Et ce n’est évidemment pas le but.

Testez et analysez votre page de vente

Une bonne page de vente n’est jamais terminée. Elle peut toujours être optimisée selon ses résultats. La tester et analyser ses performances fait partie du processus.

Parfois, un simple changement de titre ou de bouton peut impacter positivement le taux de conversion.

Outils pour tester la conversion

Quoi de mieux pour tester la conversion de votre page de vente que des outils ?

Si vous voulez savoir quelles parties attirent l’attention de vos prospects, où ils cliquent, à quel endroit ils quittent la page, vous aurez besoin d’outils de heatmaps et enregistrements. Il en existe de nombreux, comme Hotjar, Microsoft Clarity ou Crazy Egg.

Ils sont très utiles pour identifier les sections qui accrochent… et celles qui font fuir.

Une autre solution est ce qu’on appelle l’A/B testing. Cette méthode consiste à proposer à une partie de vos lecteurs une version A de votre page de vente et une version B à l’autre partie. Il ne vous reste plus ensuite qu’à analyser quelle version a le mieux performé.

Servez-vous d’outils comme VWO, Convert… Systeme.io ou Leadpages proposent aussi cette fonction.

Vous avez forcément installé Google Analytics sur votre site web (si ce n’est pas le cas, faites-le dès que vous aurez terminé de lire cet article). C’est un excellent outil pour suivre les clics, les conversions, le temps passé sur la page, etc.
Il est utile non seulement pour votre page de vente, mais pour votre site tout entier.

Récolter de la data, c’est bien. Les analyser et ajuster le tir, c’est mieux.

Analyser les résultats et ajuster

Il y a des données qui sont des indicateurs précieux sur l’efficacité de votre page de vente. Regardez spécialement les points suivants.

Le taux de conversion vous permet de savoir si votre page convertit bien. Pour le calculer, utilisez la formule suivante : nbre de conversions ÷ nbre de visiteurs x 100.
Tout dépend du secteur d’activité, mais selon le site impactplus.com (What is a good average landing page conversion rate?), un « bon » taux de conversion d’une page de vente se situe entre 3 % et 5,5 %.

Ensuite, identifiez tous les points de friction. Les points de friction, c’est tout ce qui empêche ou ralentit vos utilisateurs sur votre page de vente. Ça peut-être un CTA mal placé, un temps de chargement de page trop long, un manque de preuve sociale ou de fiabilité, une offre floue ou mal formulée…

Passez tout en détail.

Exploitez aussi votre mine d’or aka les retours clients. Messages reçus, objections fréquentes, questions posées en DM ou par e-mail sont autant d’informations qui vous donnent des indices sur ce qui coince. Adaptez votre contenu en conséquence.

Enfin, faites des ajustements progressifs. J’entends par là de ne pas tout modifier d’un seul coup. Une chose à la fois : un titre, une section, un bouton. sinon vous serez incapable d’identifier ce qui posait problème et ce qui a vraiment eu un impact.

La page de vente ne fait pas tout

Elle aura beau être la meilleure page du monde, si elle ne s’inscrit pas dans une stratégie plus vaste, elle n’apportera aucun résultat.

Pour qu’elle soit performante, il faut :

1. Amener du trafic qualifié dessus (avec des posts, des stories, de la pub, des partenariats, etc.).
2. Préparer le terrain avec une campagne de lancement bien ficelée par e-mails.
3. Répéter, relayer, réchauffer encore et encore.

La page de vente, c’est le cœur de la machine. Mais il ne faut pas oublier tout l’écosystème autour. Sans tout ça, elle ne peut pas performer.

Et si vous n’aviez plus à écrire votre page de vente vous-même ? C’est tentant, non ?

Je sais que vous avez déjà 1000 choses à gérer. Entre la création de contenu, les clients, la stratégie pour votre propre business… vous courrez déjà partout.

Et rédiger entièrement une page de vente complète, efficace et pensée pour la conversion, c’est loin de votre zone de génie. Ou vous n’avez vraiment plus le temps pour ça.

C’est exactement pour ça que je propose un service de rédaction sur-mesure de pages de vente, pensé pour les entrepreneurs comme vous : experts, passionnés, mais débordés.

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